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Posséder un squelette externe ou un squelette interne à partir des exemples des Euarthropodes et des Vertébrés Précédent   Suivant Amina Abdou Madi <amina.abdoumadi@etu.univ-st-etienne.fr> Fostine Chaise <fostine.chaise@etu.univ-st-etienne.fr> Lauriane Linossier <lauriane.linossier@etu.univ-st-etienne.fr>   Table des matières Introduction Posséder un squelette externe ou interne : des structures de soutien et de protection La cuticule : un exosquelette formé […]

Posséder un squelette externe ou interne : des structures de soutien et de protection Précédent Posséder un squelette externe ou un squelette interne à partir des exemples des Euarthropodes et des Vertébrés Suivant   Comment les squelettes externe des Euarthropodes et interne des Vertébrés sont-ils organisés ? Quelles sont leurs compositions et les propriétés qui

Posséder un squelette externe ou interne : des pièces articulées permettant la mobilité Précédent Posséder un squelette externe ou un squelette interne à partir des exemples des Euarthropodes et des Vertébrés Suivant   L’action exercée sur l’environnement par les pièces rigides du squelette consiste en la transmission d’une force. Quelle est l’origine des forces transmises

Posséder un squelette externe ou interne : réaliser une croissance discontinue ou continue Précédent Posséder un squelette externe ou un squelette interne à partir des exemples des Euarthropodes et des Vertébrés Suivant   La croissance d’un organisme animal est définie comme l’accroissement progressif de sa taille ou de sa masse, sans perte de son individualité.

Conclusion Précédent Posséder un squelette externe ou un squelette interne à partir des exemples des Euarthropodes et des Vertébrés Suivant   Les squelettes externe des Euarthropodes et interne des Vertébrés jouent donc des rôles similaires. Charpente du corps, ils en assurent le soutien, mais également la protection. Ils contribuent par ailleurs à la mobilité grâce

Bibliographie et sitographie Précédent Posséder un squelette externe ou un squelette interne à partir des exemples des Euarthropodes et des Vertébrés Suivant   Livres Sandrine Heusser et Henri-Gabriel Dupuy. Atlas de biologie animale, les grands plans d’organisation. 3ème édition. Dunod. 2008. 138 p. Science sup. [978-2-10-051816-6]   Jean-Claude Baehr, Jame Maissiat, et Jean-Louis Picaud. Biologie

Le problème de l’eau et des ions chez les Téléostéens Précédent    Suivant   Le problème de l’eau et des ions chez les Téléostéens Aïmen Bouzidi <Aïmen.bouzidi@etu.univ-st-etienne.fr> Ronan Dadole <ronan.dadole@etu.univ-st-etienne.fr> Romain Fillâtre <romain.fillatre@etu.univ-st-etienne.fr> Thomas Lelièvre <thomas.lelievre@etu.univ-st-etienne.fr>   Table des matières Introduction Les branchies : sites de flux spontanés et de transferts contrôlés d’eau et d’ions

Les branchies : sites de flux spontanés et de transferts contrôlés d’eau et d’ions Précédent Le problème de l’eau et des ions chez les Téléostéens  Suivant   Une surface importante et une faible épaisseur pour des flux d’ions spontanés Les Vertébrés réalisent des échanges de matière et d’énergie avec leur milieu de vie. En particulier,

Le tractus digestif : site de l’absorption d’eau et d’ions Précédent  Le problème de l’eau et des ions chez les Téléostéens  Suivant   Le milieu intérieur des Téléostéens évoluant en eau douce étant hyperosmotique par rapport au milieu extérieur, des flux spontanés d’eau entrants se produisent au niveau des surfaces corporelles perméables. Ces animaux ne

Les reins : sites d’évacuation et de rétention d’eau et d’ions Précédent  Le problème de l’eau et des ions chez les Téléostéens Suivant   Les reins, des organes produisant un liquide contenant de l’eau et des ions, l’urine Copyright : 2019 _ Aïmen Bouzidi ; Ronan Dadole ; Romain Fillâtre ; Thomas Lelièvre ; Sandrine