La métamérie des animaux | ||
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La métamérie des animaux
Sullyvan Andrade
<sullyvan.andrade@etu.univ-st-etienne.fr>
Clément Bastin
<clement.bastin@etu.univ-st-etienne.fr>
Valentine Bonnel
<valentine.bonnel@etu.univ-st-etienne.fr>
Camille Juge
<camille.juge@etu.univ-st-etienne.fr>
Table des matières
Introduction
Le monde vivant est représenté par de multiples organismes, unicellulaires comme pluricellulaires. Leurs cellules contiennent un noyau dans le cas des Eucaryotes ou n’en contiennent pas dans le cas des Procaryotes.
Parmi les organismes eucaryotes pluricellulaires, eux-mêmes très diversifiés, figurent les Métazoaires, hétérotrophes pour le carbone et généralement mobiles, correspondant aux animaux.
Le groupe des Métazoaires comporte des organismes aussi variés que les Méduses (Cnidaires), les Vers ronds (Nématozoaires), les Criquets (Euarthropodes), les Moules (Eumollusques), les Vers de terre (Annélides), les Oursins (Échinodermes) et les Rats (Chordés). Ils diffèrent par leurs milieux et modes de vie ainsi que par leurs organisations corporelles.
Cependant Euarthropodes, Annélides et Chordés, bien qu’appartenant à des sous-groupes distincts, partagent un caractère morphologique : leur corps est constitué de segments se succédant de l’avant vers l’arrière, le long de l’axe longitudinal.
En première approximation, la métamérie correspond à une telle segmentation corporelle longitudinale.
Quelles sont les caractéristiques de la métamérie ?
Comment est-elle exprimée dans les plans d’organisation des animaux ?
Quelle est sa signification physiologique ?
Comment a-t-elle évolué ?